Il y a 10 ans seulement, il y a 10 ans déjà… Apple révolutionnait la téléphonie avec l'IPhone. Depuis, les objets connectés se sont multipliés et ont profondément modifié notre manière de vivre, de communiquer et de nous déplacer. Du paiement sans contact chez les commerçants à la réservation de billets de train, de l'achat sur internet à la recherche d'une place de parking, la révolution est en cours. Tout s'accélère… Demain, les véhicules se déplaceront seuls pour transporter passagers et marchandises. L'enjeu est aujourd'hui d'anticiper et non de subir ces (r)évolutions.
Les technologies numériques et l'automatisation des transports interrogent tout d'abord sur la place des différents acteurs des mobilités urbaines. Comment se déplaceront les usagers de demain ? Quels seront les nouveaux acteurs de la mobilité urbaine ? Restera-t-il une place et des ressources pour la gouvernance de ces mobilités ? Et sous quelle forme ?
Parallèlement, d'autres questions se posent, notamment l'impact de l'automatisation des véhicules, en matière de transport de marchandises et de transports passagers. Utopie technologique ou réalité probable ? Quels sont les freins persistants au développement à large échelle de ces systèmes ? Comment les usagers se projettent-ils dans leurs usages ?
Les véhicules autonomes supposent également une transformation importante des aménagements de la ville et de ses usages. Les véhicules autonomes peuvent-ils s'insérer dans les espaces urbains existants ? Quelles conséquences pour les parkings de demain ?
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Texte d'après lpa.fr
